Dès le Natoufien (12000-10000 av. n.e.) l'architecture est présente sous la forme de constructions circulaires ou semi-circulaires creusées partiellement ou totalement dans le sol. Au PPNA (9500-8700 av. n.e.) le plan reste circulaire mais les structures vont se complexifier considérablement, avec notamment des bâtiments communautaires polyvalents et parfois partitionnés.
À 37 kilomètres au sud-est de la province de Zanjān se situe la plaine de Soltānieh, dans le bassin de la rivière Abhar, avec une superficie de 156 ha. La plaine de Soltānieh en légère pente (3%) avec des précipitations abondantes (320 mm de pluie par an), des niveaux élevés des eaux souterraines, une humidité convenable (41%) et marquée par un terrain calcaire crée une situation favorable pour les activités humaines et permet aux habitants de bénéficier du plein potentiel du terrain.
Les oasis qui sont des écosystèmes ou des agrosystèmes complexes sont définis comme des espaces cultivés intensivement dans un milieu désertique ou fortement marqué par l’aridité, leur sauvegarde doit être aujourd'hui comprise comme un élément fondateur de la lutte contre l’ensablement.
L’étude des données archéologiques, essentiellement funéraires, permet, dans une certaine mesure, de mettre en exergue la place que tenaient les individus immatures dans les sociétés mésopotamiennes. La première partie de la recherche consiste à tenter de définir et de comprendre la place de l’enfant dans ces sociétés.
Etude des schémas d'implantation des sites de la plaine de Shahdad (sud-est de l'Iran) et des mouvements de sa population du 5° au 3° millénaires avant J.-C., selon une approche d'archéologie du paysage.
Abstract
